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Bienvenue au Réseau de la Santé Sexuelle du Québec (RSSQ)
Le Réseau de la Santé Sexuelle du Québec (RSSQ), affilié à Action Canada pour la santé et les droits sexuels, est un organisme provincial charitable à but non lucratif bilingue voué à la facilitation de l’apprentissage en matière de santé sexuelle. En donnant accès à de l’information exacte et complète en matière de santé sexuelle à divers communautés, groupes, et individus, incluant sans s’y limiter les jeunes de toutes les régions du Québec, le RSSQ vise à promouvoir la santé sexuelle par l’éducation, incluant la prévention des grossesses non planifiées et les infections transmises sexuellement, dont le HIV/SIDA. Le RSSQ oeuvrera à l’échelle locale, régionale et provinciale afin d’assurer la mise en œuvre de programmes et services complets partout au Québec. Le RSSQ a une approche préventive et ouverte et rêve d’une société renseignée en matière de santé sexuelle et reproductive
Nous ne sommes pas une clinique sans rendez-vous.
Pour de l’information sur les cliniques au Québec, s’il vous plaît visitez :
http://sante.gouv.qc.ca/systeme-sante-en-bref/cisss-ciusss/
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Les éducateurs doivent enseigner l’éducation sexuelle pendant la pandémie de la COVID-19. Voici pourquoi :
Katja Kathol,
Directrice des Communications du Réseau de Santé Sexuelle du Québec Les étudiants subissent de profonds impacts physiques, sociaux et économiques dûs a la pandémie de la COVID-19. Bien que la maladie ait principalement affecté la santé physique, les conséquences du coronavirus ont également eu un impact sur les résultats en matière de la santé sexuelle, reproductive et mentale. La COVID-19 a entraîné de nombreuses fermetures de cliniques de santé sexuelle, créant une inaccessibilité aux contraceptifs, au dépistage des ITS, à l'avortement et à d'autres services de reproduction. Le déclin des services de santé sexuelle et reproductive accessibles a encore renforcé l'importance d'enseigner aux étudiants les pratiques sexuelles les plus sécuritaire, y compris la meilleure façon de se protéger des ITS. Par conséquent, les jeunes qui reçoivent des informations sur la santé sexuelle courent moins de risques de contracter et de propager des ITS que ceux qui ne reçoivent pas ces informations. Parallèlement a l’enseignement de la santé sexuelle, les éducateurs doivent promouvoir des services qui sont restés accessibles malgré la pandémie de la COVID-19. Certains d'entre eux comprennent le Centre de Santé des Femmes de Montréal, les Centre Local de Services Communautaires (CLSC) et, les cliniques similaires sans rendezvous. Bien que les rencontres en personne et les relations sexuelles à court terme soient actuellement découragées, plusieurs élèves participeront inévitablement à des activités sexuelles avec des partenaires malgré la pandémie. La jeune population doit être informée des meilleures pratiques concernant les relations sexuelles afin de minimiser le risque de contracter ou de transmettre la COVID-19. Par exemple, il est maintenant essentiel de demander aux partenaire avec qui ils ont été en contact - à la fois sexuellement et socialement. La COVID-19 est connue pour se propager par contact étroit via les sécrétions respiratoires. Par conséquent, le port de masque pendant l'activité sexuelle est recommandé pour éviter la transmission orale. Tout comme les personnes dont le test est positif pour les ITS, les personnes infectées par la COVID-19 peuvent subir des jugements négatifs faisant obstacle à toute communication franche entre partenaires sexuels. L'éducation en matière de santé sexuelle doit mettre l'accent sur la transparence et la communication entre partenaires afin de réduire la contamination. Lire l'intégralité du communiqué ici.
Directrice des Communications du Réseau de Santé Sexuelle du Québec Les étudiants subissent de profonds impacts physiques, sociaux et économiques dûs a la pandémie de la COVID-19. Bien que la maladie ait principalement affecté la santé physique, les conséquences du coronavirus ont également eu un impact sur les résultats en matière de la santé sexuelle, reproductive et mentale. La COVID-19 a entraîné de nombreuses fermetures de cliniques de santé sexuelle, créant une inaccessibilité aux contraceptifs, au dépistage des ITS, à l'avortement et à d'autres services de reproduction. Le déclin des services de santé sexuelle et reproductive accessibles a encore renforcé l'importance d'enseigner aux étudiants les pratiques sexuelles les plus sécuritaire, y compris la meilleure façon de se protéger des ITS. Par conséquent, les jeunes qui reçoivent des informations sur la santé sexuelle courent moins de risques de contracter et de propager des ITS que ceux qui ne reçoivent pas ces informations. Parallèlement a l’enseignement de la santé sexuelle, les éducateurs doivent promouvoir des services qui sont restés accessibles malgré la pandémie de la COVID-19. Certains d'entre eux comprennent le Centre de Santé des Femmes de Montréal, les Centre Local de Services Communautaires (CLSC) et, les cliniques similaires sans rendezvous. Bien que les rencontres en personne et les relations sexuelles à court terme soient actuellement découragées, plusieurs élèves participeront inévitablement à des activités sexuelles avec des partenaires malgré la pandémie. La jeune population doit être informée des meilleures pratiques concernant les relations sexuelles afin de minimiser le risque de contracter ou de transmettre la COVID-19. Par exemple, il est maintenant essentiel de demander aux partenaire avec qui ils ont été en contact - à la fois sexuellement et socialement. La COVID-19 est connue pour se propager par contact étroit via les sécrétions respiratoires. Par conséquent, le port de masque pendant l'activité sexuelle est recommandé pour éviter la transmission orale. Tout comme les personnes dont le test est positif pour les ITS, les personnes infectées par la COVID-19 peuvent subir des jugements négatifs faisant obstacle à toute communication franche entre partenaires sexuels. L'éducation en matière de santé sexuelle doit mettre l'accent sur la transparence et la communication entre partenaires afin de réduire la contamination. Lire l'intégralité du communiqué ici.